Contre l’invasion migratoire, limitons l’immigration !

Il fait mauvais, ces temps-ci, pour ceux qui essaient de nous faire croire que si nous voulons limiter vraiment l’immigration, donc la surpopulation, nous allons tous mourir. Les Britanniques, d’abord, nous ont montré la voie : sans se laisser impressionner par les menaces de l’Union européenne, ils ont osé le Brexit et suivent résolument le chemin qui leur permettra de retrouver une indépendance perdue. Et voici que le Coronavirus s’invite dans la campagne d’une manière inattendue : de toutes parts, on découvre (pour certains) ou, pour d’autres, on redécouvre les vertus protectrices des frontières nationales.

Mais l’événement le plus marquant, le plus inquiétant aussi pour nous, c’est encore le déclenchement, par le président Turc Erdogan, d’une vaste opération d’invasion migratoire. Après avoir encaissé depuis 2016 le butin du racket auquel il avait procédé avec l’UE (sous la menace, déjà, de pousser vers l’UE les millions de réfugiés parqués en Turquie), voici que le sultan d’Ankara, profitant de la confusion et de l’affolement provoqués par la pandémie, met sa menace à exécution. En considérant les moyens policiers et militaires engagés par la Turquie pour contraindre des dizaines, des milliers, et bientôt des dizaines de milliers de pauvres gens à entrer de force en Grèce, le terme d’invasion n’est pas exagéré. Ces événements sont d’autant plus graves que ces masses que le Frère musulman Erdogan lance sur l’Europe, ce sont des musulmans dont il se sert pour réaliser son rêve de conquête islamique.

Ce faisant, celui qui rêve de reconstituer un nouvel empire ottoman et d’islamiser l’Europe sait que l’immigration est le talon d’Achille de tous les pays européens et de l’UE, menacée d’implosion. Sans l’ombre d’un scrupule, il exploite la faiblesse majeure de la politique européenne de l’immigration, à laquelle la Suisse est hélas liée : la libre circulation des personnes. Ainsi n’a-t-il pas hésité à appeler la Grèce, plutôt que de défendre ses frontières (qui sont aussi celles, historique, de la Vieille Europe), à les ouvrir et à laisser ensuite ces masses de miséreux se répandre dans tout l’espace Schengen-Dublin.

Comment les pays européens ont-ils réagi ?

Saisissant la gravité de la menace, certains (comme la Pologne) songent à dépêcher des troupes pour appuyer les Grecs aujourd’hui acculés presque comme leurs ancêtres spartiates aux Thermopyles. D’autres (l’Autriche, la Hongrie) se disent prêts à fermer leurs frontières. L’Albanie, elle, se prépare à ouvrir de nouveaux camps de réfugiés.

Et nous ?

Hélas, nous Suisses sommes gouvernés par des « bienheureux » qui, à l’heure des questions du Conseil national du 9 mars, ont osé dire que la question d’un rétablissement d’un vrai contrôle de nos frontières (pourtant explicitement autorisé par l’Accord de Schengen…) ne se poserait pas !

Eh bien nous, nous estimons que face à une invasion, nous avons le droit, le devoir même de nous défendre, de défendre nos frontières, notre pays, notre civilisation aussi. C’est une question de légitime défense. Tout simplement.

Et si, comme cela apparaît, la libre circulation des personnes nous empêche de nous défendre efficacement, alors notre droit et notre devoir est de lever cet obstacle pour recouvrer notre souveraineté dans la gestion de notre immigration, clé de notre destin. Voilà pourquoi nous dirons OUI, le 17 mai, à l’initiative de limitation !

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par l’auteur
Jean-Luc Addor
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